Maximo Nunez est à la tête d'un mouvement de Chiliens recrutés par l'armée pendant la dictature, et qui réclame aujourd'hui réparation. Photo AFP
Des centaines d'anciens conscrits chiliens se retrouvaient dimanche devant le palais présidentiel de La Moneda, à Santiago, pour faire une proposition au pays: confesser, révéler, raconter ce qu'ils ont vu, ou été contraints de faire, pendant les premières années, les plus noires, de la dictature militaire (1973-90), mais uniquement en échange d'une meilleure protection judiciaire.
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