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Le cours du métal rouge, dont le Chili est le premier producteur mondial, n’a pas plongé à la suite du premier tour du scrutin présidentiel, le 19 novembre.
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GRÈVE À LA MINE DE CUIVRE
D’ESCONDIDA, AU CHILI, LE 8 MARS
PHOTO MARTIN BERNETTI AFP |
L’art de la divination sondagière a ses limites. Les électeurs chiliens l’ont prouvé une fois encore, dimanche 19 novembre. Conviés à s’exprimer au premier tour du scrutin présidentiel, ils ont déjoué les pronostics. Même si le milliardaire Sebastian Piñera s’est retrouvé en ballottage favorable, le raz-de-marée annoncé ne s’est pas produit. Le lendemain, la Bourse de Santiago et le peso plongeaient. Les investisseurs allaient-ils également sonner la charge contre le cuivre ? Que nenni. Le métal rouge est resté de marbre ou presque. Vendredi 24 novembre, la tonne de cuivre se négociait à 7 002 dollars à la Bourse de Londres.