Les avocats William Bourdon (G), représentant les familles de Georges Klein et d'Etienne Pesle, et Claude Katz, le 8 décembre 2010 à la cour d'assises de Paris. Photo AFP
PARIS — L'attente et l'émotion exprimées vendredi à la cour d'assises de Paris par les proches du Français Georges Klein, ex-conseiller du président chilien Allende disparu il y a 37 ans, ont répondu aux doutes sur l'intérêt de juger en leur absence 14 ex-dignitaires de la dictature Pinochet.
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