[ Cliquez sur l'image pour l'agrandir ]
MANIFESTATION DEVANT LE SIÈGE DU GOUVERNEMENT À SANTIAGO DU CHILI, LE 23 MARS 2015. PHOTO MARTIN BERNETTI |
Encadrement du financement des partis politiques, limitation du cumul des mandats dans le temps, lutte contre le népotisme... Les Chiliens vont bientôt connaître le détail des mesures anti-corruption annoncées par la présidente, Michelle Bachelet. Les attentes sont énormes dans un pays secoué par des scandales à répétition et qui traverse la pire crise politique depuis son retour à la démocratie en 1990.
Depuis plusieurs mois, des scandales de
financement occulte entachent la réputation de l’élite politique chilienne. Deux énormes groupes, Penta, qui a des intérêts dans la finance, l’immobilier, la santé, l’éducation, et Soquimich, une entreprise minière, ont financé des campagnes électorales grâce à de fausses factures. Autant de scandales synonymes de conflits d’intérêts dans la classe politique chilienne.
financement occulte entachent la réputation de l’élite politique chilienne. Deux énormes groupes, Penta, qui a des intérêts dans la finance, l’immobilier, la santé, l’éducation, et Soquimich, une entreprise minière, ont financé des campagnes électorales grâce à de fausses factures. Autant de scandales synonymes de conflits d’intérêts dans la classe politique chilienne.