[ Cliquez sur l'image pour l'agrandir ]
ILLUSTRATION LO COLE |
« Le geste, s’il est suivi d’actes concrets de coopération et d’amitié, est le bienvenu, même s’il témoigne d’une dépendance narcotique à la politique américaine. »PAR PATRICK APEL-MULLER
Enfin, un président français à Cuba ! Parce que les États-Unis imposaient un blocus – pourtant condamné par l’ONU –, les relations avec la grande île caraïbe avaient pris un cours souterrain, maigrelet, emprunté, qui ne compensait pas les ravages causés par l’embargo à la vie des Cubains et qui laissait faire les menées de la CIA contre les dirigeants castristes.