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DESSIN ALVARO TAPIA |
Cela fait plusieurs années que nous n’avons pas publié de texte se faisant l’écho des avancées de la justice chilienne sur les violations des droits humains survenues pendant la dictature militaire (1973-1990). Comme on le verra dans cet article d’Arnaldo Pérez Guerra publié le 24 octobre 2016 par Noticias Aliadas, le bilan actuel n’est pas très positif.
Les familles des victimes de la dictature dénoncent le manque de volonté politique pour punir les responsables de crimes contre l’humanité.
DESSIN JEAN PLANTUREUX |
«Vingt-six ans se sont écoulés depuis la fin de la dictature et il n’y a pas de volonté politique pour enquêter sur tous les crimes, annuler le Décret-loi d’amnistie, fermer la prison de Punta Peuco, dégrader les militaires condamnés, accorder des réparations dignes aux victimes et nombre de choses encore », déclare à Noticias Aliadas, Alicia Lira, présidente de l’Association des familles des personnes exécutées pour raisons politiques (AFEP).