lors qu’en France le front universitaire se maintient étonnamment calme à cinq mois d’une élection présidentielle, le Chili connaît quant à lui les derniers soubresauts d’un long bras-de-fer qui a opposé depuis avril les étudiants au gouvernement. La problématique y est sensiblement la même depuis des années : comment assurer l’accès des classes moyennes et des plus pauvres à une éducation supérieure de qualité dans un domaine où le secteur privé domine.