16 février, 2016

DE SANTIAGO À CARACAS, LA MAIN NOIRE DE WASHINGTON

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HERBERT MATTHEWS AVEC CASTRO PENDANT SON VOYAGE À NEW YORK EN 1960.

De nombreux complots avérés parsèment l’histoire et donnent du crédit aux thèses conspirationnistes. Les relations entre les Etats-Unis et l’Amérique latine invitent toutefois à distinguer machinations, stratégie d’influence et art du rapport de forces.
FIN DE PARTIE AU VENEZUELA 
ILLUSTRATION LO COLE
«À tout instant, écrivait en 1959 le journaliste Herbert Matthews, la question se pose : si nous n’avions pas l’Amérique latine à nos côtés, notre situation serait dramatique. Sans accès aux produits et aux marchés d’Amérique latine, les Etats-Unis seraient réduits au statut de pouvoir de second rang» (The New York Times, 26 avril 1959).