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PHOTO MINSAL |
Loop HaïtiLa nouvelle s’est répandue comme une traînée de poudre. Les médias s’en sont emparés, à grand renfort d’articles sur la lèpre mais aussi en invitant des spécialistes à envisager l’éventuel risque de contamination en masse. Victimes de discriminations, la communauté haïtienne n’avait pas besoin de l’annonce qu’un ressortissant d’Haïti de 28 ans a été infecté de la lèpre à Valdivia, au Chili. Il serait le deuxième cas de la maladie sur le territoire national.
«La lèpre a un traitement, la xénophobie non » s’est indignée sur Facebook « La communauté Haïtienne au Chili » dans une publication « likée » un millier de fois et partagée par environ 500 utilisateurs. Pour « la communauté», le cas reste ‘suspect’ car les résultats définitifs doivent être connus jeudi.
CAPTURE D'ÉCRAN |
Infecté ou pas, le « compatriote » jouit des droits réservés aux patients » a rappelé « La Communauté».