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UNE MILITANTE DU MOUVEMENT PRO-CHOIX DE L'IVG LORS D'UNE MANIFESTATION DEVANT LE MINISTÈRE DE LA SANTÉ DU CHILI, LE 26 MARS 2018 À SANTIAGO PHOTO CLAUDIO REYES |
Au Chili, malgré la dépénalisation partielle de l'avortement, les femmes éprouvent toujours des difficultés à accéder à ce droit. Après plus de trente ans d'interdiction totale, le pays avait pourtant autorisé, l'an dernier, les interruptions de grossesse dans trois cas seulement : viol ou danger pour la vie du foetus ou de la mère. Mais la loi s'applique difficilement et le nouveau gouvernement mené par le président de droite Sebastian Piñera a rendu plus facile l'objection de conscience pour les médecins.
CHILI: MALGRÉ UNE LÉGALISATION PARTIELLE, L'IVG RESTE DIFFICILE D'ACCÈS |
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