03 mai, 2018

CHILI: MALGRÉ UNE LÉGALISATION PARTIELLE, L'AVORTEMENT RESTE DIFFICILE D'ACCÈS


[ Cliquez sur l'image pour l'agrandir ]

UNE MILITANTE DU MOUVEMENT PRO-CHOIX DE L'IVG 
LORS D'UNE MANIFESTATION DEVANT LE MINISTÈRE 

DE LA SANTÉ DU CHILI, LE 26 MARS 2018 À SANTIAGO
PHOTO CLAUDIO REYES
Au Chili, malgré la dépénalisation partielle de l'avortement, les femmes éprouvent toujours des difficultés à accéder à ce droit. Après plus de trente ans d'interdiction totale, le pays avait pourtant autorisé, l'an dernier, les interruptions de grossesse dans trois cas seulement : viol ou danger pour la vie du foetus ou de la mère. Mais la loi s'applique difficilement et le nouveau gouvernement mené par le président de droite Sebastian Piñera a rendu plus facile l'objection de conscience pour les médecins.
CHILI: MALGRÉ UNE LÉGALISATION
PARTIELLE, L'IVG RESTE DIFFICILE D'ACCÈS
Au Chili, le débat sur l'interruption volontaire de grossesse a été ravivé ces derniers jours. Une jeune femme a accusé publiquement l'équipe d'un petit hôpital de province d'avoir refusé de la laisser avorter dans de bonnes conditions et de l'avoir mal informée. Sa grossesse ne pouvait arriver à terme. Elle a fini par faire une fausse couche seule dans une chambre d'hôpital.




SUR LE MÊME SUJET :