Les chercheurs ont ainsi "découvert 150 cas potentiels de victimes des violations des droits de l'homme", indique un communiqué de l'université, coauteur avec le centre d'investigation journalistique ArchivosChile. "Il s'agit de personnes qui n'ont pas été comptabilisées comme victimes de violations des droits de l'homme par les commissions officielles, mais dont les caractéristiques de décès suggèrent qu'il pourrait s'agir d'exécutions politiques", souligne l'étude.
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