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MIGUEL DÍAZ-CANEL BERMÚDEZ PHOTO PHILIPPE HUGUEN |
Le 19 avril prochain, les guérilleros qui ont participé à la révolution quitteront définitivement le gouvernement et la gestion du pays passera aux mains d’hommes politiques qui n’appartiennent pas à la famille Castro. Une révolution dans la révolution ? Probablement pas. D’après le professeur et chercheur cubain Esteban Morales, la stratégie de M. Raúl Castro (86 ans) — qui quitte son poste de chef de l’État, mais demeure à la tête du Parti communiste cubain (PCC) — « lui permettra de garder une position de surplomb pour contrôler la transition ». La Constitution cubaine ne définit-elle pas le PCC comme la « force directrice suprême de la société et de l’État, qui organise et oriente les efforts communs vers les nobles fins de la construction du socialisme » ?
MIGUEL DÍAZ-CANEL BERMÚDEZ, À DROITE, PENDANT UNE SESSION DE L'ASSEMBLÉE NATIONALE CUBAINE À LA HAVANE 2013. PHOTO FRANKLIN REYES |
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