LA SALLE BAUDRY ACCUEILLE UNE EXPO DE PLUSIEURS ARTISTES
CHILIENS ET PÉRUVIENS. ICI, LE PORTRAIT DU POÈTE COMMUNISTE,
PABLO NERUDA, PRIX NOBEL DE LITTÉRATURE EN 1971.
PHOTO OUEST-FRANCE
LOGO OUEST-FRANCE
La sortie du week-end. Le Pouliguen accueille le Chili ce week-end avec une exposition de peintures et des films à découvrir au Pax. En attendant le repas festif…/ Le festival Onda latina s’intéresse, chaque année, à une culture différente d’Amérique latine et met, cette année, l’accent sur le Chili. Ce week-end des 17 et 18 février sert de démarrage à de nombreuses animations autour de ce pays passionnant. À commencer par une expo chorale d’art urbain, des artistes muralistes qui travaillent en direct, et des films…
 |
| AFFICHE ONDA LATINA |
Le festival Onda latina s’intéresse, chaque année, à une culture différente d’Amérique latine et met, cette année, l’accent sur le Chili. Ce week-end des 17 et 18 février sert de démarrage à de nombreuses animations autour de ce pays passionnant. À commencer par une expo chorale d’art urbain, des artistes muralistes qui travaillent en direct, et des films…
► À penser en dessin : FENÊTRE SUR COUR
La galerie associative Graffiti Compagnie accueille des œuvres inspirées par la nature et la culture sud-américaine et en particulier le Chili. Les artistes DaCruz, graffeur parisien renommé, Nice art (pochoir) et Paul Camus, muraliste nazairien d’origine chilienne, seront présents, samedi 17 février, pour une intervention en direct à la salle Baudry, à partir de 16 h.
Des films pour comprendre le pays
Les cinéphiles pourront aussi découvrir des films chiliens en version originale.
Les Colons (vendredi à 20 h 45) est un vrai western (crépusculaire) en Terre de Feu ! Le Chilien Felipe Galvez relate l’accaparement, en 1901, de terres immenses de l’extrême Amérique du Sud par deux cow-boys sans scrupule (un soldat anglais, un mercenaire américain) et un jeune métis au service d’un puissant propriétaire terrien. La rudesse des paysages n’est rien face à la barbarie des colons pour anéantir les indigènes et construire le pays.
Le festival Onda latina s’intéresse, chaque année, à une culture différente d’Amérique latine et met, cette année, l’accent sur le Chili. Ce week-end des 17 et 18 février sert de démarrage à de nombreuses animations autour de ce pays passionnant. À commencer par une expo chorale d’art urbain, des artistes muralistes qui travaillent en direct, et des films…
La galerie associative Graffiti Compagnie accueille des œuvres inspirées par la nature et la culture sud-américaine et en particulier le Chili. Les artistes DaCruz, graffeur parisien renommé, Nice art (pochoir) et Paul Camus, muraliste nazairien d’origine chilienne, seront présents, samedi 17 février, pour une intervention en direct à la salle Baudry, à partir de 16h.
Des films pour comprendre le pays
Les cinéphiles pourront aussi découvrir des films chiliens en version originale.
Les Colons (vendredi à 20 h 45) est un vrai western (crépusculaire) en Terre de Feu ! Le Chilien Felipe Galvez relate l’accaparement, en 1901, de terres immenses de l’extrême Amérique du Sud par deux cow-boys sans scrupule (un soldat anglais, un mercenaire américain) et un jeune métis au service d’un puissant propriétaire terrien. La rudesse des paysages n’est rien face à la barbarie des colons pour anéantir les indigènes et construire le pays.
Chili, 1976 (vendredi à 16 h 30 et dimanche à 18 h 30). Trois ans après le coup d’État de Pinochet, Carmen part superviser la rénovation de la maison familiale en bord de mer. Lorsque le prêtre lui demande de s’occuper d’un jeune qu’il héberge en secret, Carmen se retrouve en terre inconnue, loin de la vie bourgeoise et tranquille à laquelle elle est habituée.
Un dîner-spectacle chilien samedi 24 février
Mais aussi, Je tremble ô matador, de Rodrigo Sepúlveda (dimanche à 16 h 30). Chili, 1986, en pleine dictature de Pinochet. Par amour pour un révolutionnaire idéaliste qu’il vient de rencontrer, un travesti sur le déclin accepte de cacher des documents secrets chez lui. Ils s’engagent tous deux dans une opération clandestine à haut risque.
Mon pays imaginaire est un documentaire de Patricio Guzmán. Octobre 2019, une révolution inattendue, une explosion sociale. […] L’événement que j’attendais depuis mes luttes étudiantes de 1973 se concrétisait enfin.
SUR LE MÊME SUJET :