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Buenos Aires, 10 juin 2020 (Prensa Latina) L’ancien président de la Bolivie Evo Morales a souligné aujourd’hui les articles des journaux nord-américains The New York Times et The Washington Post qui réfutent une prétendue fraude lors des élections générales du pays sud-américain en octobre 2019.
EVO MORALES, PRÉSIDENT DE LA BOLIVIE,
A QUITTÉ LE PAYS SUITE À UN COUP D'ÉTAT
PHOTO DANIEL BEREHULAK
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DÉPOUILLEMENT DES VOTES À LA PAZ EN OCTOBRE 2019. PHOTO DAVID MERCADO |
Sur le réseau social Twitter, l’ancien président a rappelé le sénateur républicain pour l’État de Virginie, Richard Black, qui, dans une interview donnée à l’agence de presse russe Spoutnik à la fin de l’année dernière, a souligné l’implication de l’administration de Donald Trump dans les événements, compte tenu de son intérêt pour le lithium bolivien.
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DES PARTISANS DE M. MORALES PROTESTANT CONTRE LE GOUVERNEMENT DE FACTO PHOTO VICTOR MORIYAMA |
« Il y a eu une préoccupation quant au fait que les Chinois commencent à exercer une influence en Bolivie. Et que d’une certaine manière, cela aurait pu rendre plus difficile le fait que les États-Unis obtiennent du lithium pour les batteries que nous utilisons maintenant dans les voitures. Je pense que cela faisait au moins partie de l’équation», a déclaré Black à Spoutnik.
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JEANINE AÑEZ CHAVEZ S'EST ADRESSÉE À UNE FOULE DEPUIS LE BALCON DU PALAIS PRÉSIDENTIEL APRÈS S'ÊTRE AUTOPROCLAMÉE PRÉSIDENTE PAR INTÉRIM EN NOVEMBRE 2019 PHOTO FEDERICO RIOS ESCOBAR |
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